Levante el auricular y me pareció escuchar
una voz astillada
Me habló con una cascada de llantos
“La muerte simplificó su agonía”
Junto a la ventana,
La luz se disolvía en el vidrio;
Y vi volar su espíritu diciendo adiós
El color de la tierra
El aire húmedo
Tenía una forma mordaz
De anunciar su ausencia
El final, no tiene esa cualidad
Amurallada de evitar la orfandad;
Siendo apenas un nieto
La expresión melancólica hace un agujero en mi pecho
El nunca se ufano como santo
Pero ruego la mitad de sus pecados
Para que en su traje, su ego,
Te absuelva Dios, mi abuelo
De la ira inflamada de tu porte
Se fue mi apoyo, el hombro fuerte
Avanza lentamente entre las ondas níveas del firmamento
Sus ojos no se asoman,
No hay latido en sus venas
Tus secretos están a salvo abuelo
En esa caja de mármol,
donde mueren mis penas.
Mis labios están sellados
Mis sueños te tocan
Mas tus recuerdos abuelo
Me llevan al cielo |
J’ai pris l'écouteur et j’ai eu l’impression
d’entendre une voix ébréchée
Elle m'a dit dans une cascade de pleurs
« La mort a simplifié son agonie »
Près de la fenêtre,
La lumière se dissolvait dans le verre ;
Et j'ai vu voler son esprit qui disait au revoir
La couleur de la terre
L'air humide
Il avait une manière mordante
D'annoncer son absence
La fin, n'a pas cette qualité
Enmurée d'éviter l'orphelinage ;
En étant à peine un petit-fils
L'expression mélancolique fait un trou dans ma poitrine
Lui jamais ne s’est présenté comme un saint
Mais je demande la moitié de ses péchés
Pour que dans son costume, son ego,
Dieu t’absolve, mon grand-père
De la colère enflammée de ton port
Mon appui est parti, l'épaule forte
Il avance lentement entre les ondes neigeuses du firmament
Ses yeux ne se sont pas montrés,
Ils n'ont pas battu dans ses veines
Tes secrets sont à l’abri, grand-père
Dans cette caisse de marbre,
où meurent mes peines.
Mes lèvres sont scellées
Mes rêves te touchent
Mais tes souvenirs grand-père
M'emmènent au ciel
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